Le Père Leopoldo Sayegh LC (promo 2) a présenté un mémoire sur « La définition de l’être humain à la lumière de la théologie du corps ». Il y a montré comment la théologie du corps éclairait les nouvelles approches de la personne humaine que l’on trouve dans les textes du Concile de Vatican II et notamment dans la Constitution pastorale Gaudium et spes.
Dans un mémoire intitulé « Mais pourquoi donc Dieu nous a-t-il fait une corps ? », Dominique Thienpont (promo 3), doyen en âge des étudiants du Mastère, s’est employé à monter comment l’ « anthropologie adéquate » développée par la théologie du corps ouvrait l’anthropologie classique thomiste sur de nouvelles perspectives.
Renaud de Vivies (promo 4) a présenté un mémoire sur « Théologie du corps et Doctrine sociale de l’Eglise » dans lequel il a établi comment l’anthropologie du don que met en évidence la théologie du corps projette une nouvelle lumière sur la réalité du travail humain en en confirmant la dignité intrinsèque, et à travers la dimension du travail, sur l’ensemble de la question sociale.
Les trois étudiants ont soutenu leurs travaux à la satisfaction du jury composé des directeurs de mémoire, Thibaud Collin et le Père Antoine De Roeck, et d’Yves Semen et ont obtenu leur Mastère avec respectivement les mentions Bien, Assez Bien et Très Bien