Patrick Caradec, père d’un enfant trisomique, a présenté un mémoire sur « La lumière de la théologie du corps sur la considération de la personne handicapée mentale ». Il a montré comment la théologie du corps aide à établir une juste considération de la personne handicapée mentale, cela permettant de développer une relation de communion avec elle.
Dans un mémoire intitulé « Peut-on penser la sexualité sans l’autre ?», Aurélie Artur, à partir d’une analyse audacieuse et pertinente de la conception de la sexualité partagée par la plupart de nos contemporains, a posé la question de savoir si la sexualité pouvait se concevoir uniquement au plan individuel et a montré comment la vision de la sexualité que propose la théologie du corps permet d’intégrer pleinement l’autre tout en étant pleinement soi, spécialement dans la relation conjugale.
Claire Viallon a présenté un mémoire sur « La théologie du corps, pédagogie pour les fiançailles ». Sur la base de son expérience avec Eric son mari, de l’accompagnement de couples se préparant au mariage, elle a montré comment les perspectives de la théologie du corps peuvent être convoquées pour proposer un temps de fiançailles en vérité à ceux qui cheminent vers le mariage .
Les trois étudiants ont soutenu leurs travaux à la satisfaction du jury composé des directeurs de mémoire, Thibaud Collin et François de Muizon, et d’Yves Semen et ont obtenu leur Mastère avec respectivement les mentions Bien, Très Bien et Bien.
