Séminaires de Mastère - Tout public

Le transhumanisme serait-il possible sans une a-théologie du corps ? Autrement dit, la théologie du corps n’est-elle pas la meilleure réponse au transhumanisme ?

Pourquoi les méthodes d’auto-observation de la fertilité permettent-elles, au rebours de la contraception, d’exercer une paternité-maternité responsable ?

La vision de la création dans la Genèse est-elle récusée par les données les plus actuelles de la science sur l’évolution de l’homme ?

Quelle est l’identité propre de la femme ? Y a-t-il une essence féminine et, partant, une vocation spécifique de la femme ?

Comment le développement des technologies de l’ « intelligence artificielle » peut-il aboutir à une négation de la réalité incarnée de la personne humaine ?

Comment les représentations du corps dans l’art ont-elles évolué au cours du temps et comment révèlent-elles les réflexions culturelles de leur époque ?

Comment le corps humain révèle-t-il dans toutes ses dimensions et fonctions physiologiques le fait qu’il est un « corps de don » ?

Comment la philosophie de la personne développée par Karol Wojtyla, notamment dans son maître-ouvrage Personne et acte, pose-t-elle les fondements anthropologiques sur lesquels reposent ses catéchèses sur la théologie du corps ?

Comment la vérité sur le mariage et la famille se révèle-t-elle progressivement dans l’Écriture ? L’amour humain est au cœur de la Révélation biblique, du livre de la Genèse au livre de l’Apocalypse.

Ce séminaire a pour but de montrer comment l’anthropologie du don qu’établit la théologie du corps constitue le fondement anthropologique sur lequel repose la Doctrine Sociale de l’Église.